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8 journées depuis
Assises du CIDP Cameroun – Yaoundé, 23 septembre 2025
Plus de 50 acteurs clés venus des 10 régions du Cameroun réunis pour donner un nouvel élan au partenariat.
Au programme :
🎬 Projection inédite du documentaire du Conseil
🌍 Zoom sur l’agenda transformationnel Afrique–Europe
💡 Ateliers participatifs pour des solutions concrètes aux défis des jeunesses et sociétés civiles (employabilité jeune , mémoire, migrations, santé, environnement)
💻 Hackaton dédié aux solutions digitales OSC
Et bien d’autres….
Rendez-vous à l’Institut Français du Cameroun – Yaoundé.
Ces Assises ouvrent la voie vers le pré-sommet de Yaoundé (février 2026) et le Sommet de Nairobi avril 2026.
✨ La jeunesse et la société civile au cœur du changement✨.
#CIDPCameroun #jeunesse #AFRIQUEEUROPE #DIALOGUE #Innovation #BATIRLAVENIR
Plus de 50 acteurs clés venus des 10 régions du Cameroun réunis pour donner un nouvel élan au partenariat.
Au programme :
🎬 Projection inédite du documentaire du Conseil
🌍 Zoom sur l’agenda transformationnel Afrique–Europe
💡 Ateliers participatifs pour des solutions concrètes aux défis des jeunesses et sociétés civiles (employabilité jeune , mémoire, migrations, santé, environnement)
💻 Hackaton dédié aux solutions digitales OSC
Et bien d’autres….
Rendez-vous à l’Institut Français du Cameroun – Yaoundé.
Ces Assises ouvrent la voie vers le pré-sommet de Yaoundé (février 2026) et le Sommet de Nairobi avril 2026.
✨ La jeunesse et la société civile au cœur du changement✨.
#CIDPCameroun #jeunesse #AFRIQUEEUROPE #DIALOGUE #Innovation #BATIRLAVENIR
1 année depuis
Yaoundé 🇨🇲
VOICI L'ORIGINE DES NOMS DE 16 QUARTIERS
1- "Nkolndongo : signifie colline de Ndongo. Il vient de 2 choses . Nkol (la colline et Ndong (le ravin en Ewondo). Nkolndongo tire ses origines de la colline qui est située derrière le Lycée de Nkolndongo. Il paraît que cette colline faisait tellement peur aux populations que personne n’osait la grimper de peur de tomber dans le ravin. Avec le temps, Nkolndongo est devenu le nom d’un village où vivent les Emombo, les Mvog Mbi et les Mvog Ada.
2- Ngoa-Ekele : ou Ngok Ekele signifie en Ewondo « pierre suspendue ». Il vient des mots Ngoa ou Ngok (pierre ou rocher) et Ekele (suspendu). C’est une zone dominée par le plateau Atemengue. Mais c’est surtout le quartier de l’Université de Yaoundé I, la toute première du Cameroun.
3- Biyem-Assi : est situé au Sud-Ouest de Yaoundé. Son nom vient de la rivière Biyeme qui se jette dans le Mfoundi au Sud de la ville. Biyem-Assi abritait aussi des villages lors des migrations des Béti.
4- Messa : est le pluriel du mot « Assa » qui veut dire «safoutier ou prunier » (en Ewondo), la plante qui donne les prunes. Il paraît qu’il y en avait en abondance à cette période. Qu’elles étaient très sucrées. Malheureusement, aujourd'hui, l’urbanisation de la ville a fait qu’on en trouve presque plus là-bas. Hélas !
5- Melen : est le pluriel de « Allen » qui en Ewondo veut dire « palmier à huile ». Quand les Allemands sont arrivés, ils ont trouvé les palmiers à huile jouuuka. Ils ont même encouragé les populations à continuer à en planter en bordure de la route d’où le nom de Ndzong Melen qui signifie en français la « Rue des palmiers ».
6- Kondengui : se traduit en français par « arène des gorilles ». Konde veut dire « cour de… brousse de… » et Ngui signifie « gorille ». Pour la petite histoire, c’est en se battant que les Mvog Ebanda ont réussi à s’installer à Nkol Atom et à Kondengui. Un lieu où ils ont trouvé plusieurs gorilles.
7- Mvog Atangana-Mballa : est un quartier situé à Awaé et limité par Mvog Mbi au Nord, Mvolye vers le sud, Olezoa vers l’Ouest. Il symbolise le regroupement des domiciles des descendants consanguins de Atangana Mballa de l’ancêtre Essomba-Naa-Bana et frère de Fuda Mballa et Tsung Mballa. Ils se seraient installés ici lors des migrations Béti et bien avant que les blancs n’atterrissent.
8- Mvog-Ada : Ces habitants sont les descendants de Tsung Mballa. Son fils Otu Tamba avait épousé une floppée de femmes parmi lesquelles : Ada, Betsi, Amvuna, Ntigui et Bela. Chaque femme a accouché d’où les clans Mvog Ada, Mvog Amvuna, Mvog Bela, Mvog Betsi, Mvog Ntigui. Ils se sont installés au village dit Messa au niveau de l’Hôpital Central actuel.
9- Elig Essono : C’est un quartier situé à Djoungolo. Il a été fondé par Essono Balla Joseph, un ancien combattant qui a fait la 1ère guerre mondiale. C’est surtout un ancien chef traditionnel de Djoungolo qui était à la tête des Mvog Ada et des Ebounboun de 1930 jusqu’à sa mort en 1951.
10- Elig Edzoa : Edzoa Mbedé est le fondateur de la dynastie Elig Edzoa. Il était le chef de toute la tribu Emombo située à Nfandena. Il paraît que c’était un sorcier très puissant qui faisait peur aux populations. C’est la raison pour laquelle son apparition demeure un traumatisme pour les Emombo de Nfandena qui est une localité dans laquelle sont inclus les quartiers Omnisport, Elig Edzoa, Essos, Nlongkak, et une partie de Djoungolo.
11- Elig Effa : La dysnatie d’Elig Effa a pour fondateur Effa Omgba Amougou Alphonse, un Mvog Betsi. C’était un chef catéchiste à Mvolyé. C’est lui qui baptisait les Ewondo, les Eton, les Yambassa, les Bamiléké de la région de Yaoundé et tout le monde qui désirait se marier à l’église catholique. À sa mort en 1939, les gens ont décidé à l’unanimité de donner son nom au village.
12- Etoudi : est situé au nord de Yaoundé, siège du Palais présidentiel. Son nom vient des populations de la tribu Etudi lors des migrations Béti. On les retrouve dans les quartiers nord de la ville. Mballa, Oliga, Etoudi, Mfoundasi, Ekoudou, Nlongkak.
13- Tsinga : Tout d’abord, le vrai nom de Tsinga est Ntougou. Il est tiré d’une rivière. C’est le siège des Mvog Ekoussou, un peuple chassé vers 1936. Le nom de leur village a été modifié paraît il sous l’impulsion de André Fouda, l’ancien Maire de Yaoundé.
14- Awaé : signifie « repos » en Ewondo. Apparemment, Awaé était un endroit qui servait de repos aux populations anciennes après une longue marche. C’était donc un lieu de rassemblement, un carrefour pendant les migrations.
15- Mimboman : a presque la même explication qu’Awaé. À la différence que Mimboman était un lieu d’installation définitive. Mimboman signifie les arrivées, les rencontres définitives, ou les installations des populations. Selon plusieurs contes, les Beti d’origines diverses s’y sont installés de façon définitive.
16- Mvolyé : vient de l’expression Ewondo « Mvol ayé ». Mvol (promesse) ayé (difficile,
VOICI L'ORIGINE DES NOMS DE 16 QUARTIERS
1- "Nkolndongo : signifie colline de Ndongo. Il vient de 2 choses . Nkol (la colline et Ndong (le ravin en Ewondo). Nkolndongo tire ses origines de la colline qui est située derrière le Lycée de Nkolndongo. Il paraît que cette colline faisait tellement peur aux populations que personne n’osait la grimper de peur de tomber dans le ravin. Avec le temps, Nkolndongo est devenu le nom d’un village où vivent les Emombo, les Mvog Mbi et les Mvog Ada.
2- Ngoa-Ekele : ou Ngok Ekele signifie en Ewondo « pierre suspendue ». Il vient des mots Ngoa ou Ngok (pierre ou rocher) et Ekele (suspendu). C’est une zone dominée par le plateau Atemengue. Mais c’est surtout le quartier de l’Université de Yaoundé I, la toute première du Cameroun.
3- Biyem-Assi : est situé au Sud-Ouest de Yaoundé. Son nom vient de la rivière Biyeme qui se jette dans le Mfoundi au Sud de la ville. Biyem-Assi abritait aussi des villages lors des migrations des Béti.
4- Messa : est le pluriel du mot « Assa » qui veut dire «safoutier ou prunier » (en Ewondo), la plante qui donne les prunes. Il paraît qu’il y en avait en abondance à cette période. Qu’elles étaient très sucrées. Malheureusement, aujourd'hui, l’urbanisation de la ville a fait qu’on en trouve presque plus là-bas. Hélas !
5- Melen : est le pluriel de « Allen » qui en Ewondo veut dire « palmier à huile ». Quand les Allemands sont arrivés, ils ont trouvé les palmiers à huile jouuuka. Ils ont même encouragé les populations à continuer à en planter en bordure de la route d’où le nom de Ndzong Melen qui signifie en français la « Rue des palmiers ».
6- Kondengui : se traduit en français par « arène des gorilles ». Konde veut dire « cour de… brousse de… » et Ngui signifie « gorille ». Pour la petite histoire, c’est en se battant que les Mvog Ebanda ont réussi à s’installer à Nkol Atom et à Kondengui. Un lieu où ils ont trouvé plusieurs gorilles.
7- Mvog Atangana-Mballa : est un quartier situé à Awaé et limité par Mvog Mbi au Nord, Mvolye vers le sud, Olezoa vers l’Ouest. Il symbolise le regroupement des domiciles des descendants consanguins de Atangana Mballa de l’ancêtre Essomba-Naa-Bana et frère de Fuda Mballa et Tsung Mballa. Ils se seraient installés ici lors des migrations Béti et bien avant que les blancs n’atterrissent.
8- Mvog-Ada : Ces habitants sont les descendants de Tsung Mballa. Son fils Otu Tamba avait épousé une floppée de femmes parmi lesquelles : Ada, Betsi, Amvuna, Ntigui et Bela. Chaque femme a accouché d’où les clans Mvog Ada, Mvog Amvuna, Mvog Bela, Mvog Betsi, Mvog Ntigui. Ils se sont installés au village dit Messa au niveau de l’Hôpital Central actuel.
9- Elig Essono : C’est un quartier situé à Djoungolo. Il a été fondé par Essono Balla Joseph, un ancien combattant qui a fait la 1ère guerre mondiale. C’est surtout un ancien chef traditionnel de Djoungolo qui était à la tête des Mvog Ada et des Ebounboun de 1930 jusqu’à sa mort en 1951.
10- Elig Edzoa : Edzoa Mbedé est le fondateur de la dynastie Elig Edzoa. Il était le chef de toute la tribu Emombo située à Nfandena. Il paraît que c’était un sorcier très puissant qui faisait peur aux populations. C’est la raison pour laquelle son apparition demeure un traumatisme pour les Emombo de Nfandena qui est une localité dans laquelle sont inclus les quartiers Omnisport, Elig Edzoa, Essos, Nlongkak, et une partie de Djoungolo.
11- Elig Effa : La dysnatie d’Elig Effa a pour fondateur Effa Omgba Amougou Alphonse, un Mvog Betsi. C’était un chef catéchiste à Mvolyé. C’est lui qui baptisait les Ewondo, les Eton, les Yambassa, les Bamiléké de la région de Yaoundé et tout le monde qui désirait se marier à l’église catholique. À sa mort en 1939, les gens ont décidé à l’unanimité de donner son nom au village.
12- Etoudi : est situé au nord de Yaoundé, siège du Palais présidentiel. Son nom vient des populations de la tribu Etudi lors des migrations Béti. On les retrouve dans les quartiers nord de la ville. Mballa, Oliga, Etoudi, Mfoundasi, Ekoudou, Nlongkak.
13- Tsinga : Tout d’abord, le vrai nom de Tsinga est Ntougou. Il est tiré d’une rivière. C’est le siège des Mvog Ekoussou, un peuple chassé vers 1936. Le nom de leur village a été modifié paraît il sous l’impulsion de André Fouda, l’ancien Maire de Yaoundé.
14- Awaé : signifie « repos » en Ewondo. Apparemment, Awaé était un endroit qui servait de repos aux populations anciennes après une longue marche. C’était donc un lieu de rassemblement, un carrefour pendant les migrations.
15- Mimboman : a presque la même explication qu’Awaé. À la différence que Mimboman était un lieu d’installation définitive. Mimboman signifie les arrivées, les rencontres définitives, ou les installations des populations. Selon plusieurs contes, les Beti d’origines diverses s’y sont installés de façon définitive.
16- Mvolyé : vient de l’expression Ewondo « Mvol ayé ». Mvol (promesse) ayé (difficile,
1 année depuis
LA #DOT CHEZ LES #Mbouda Ouest Cameroun. (Mariage Mbouda-Ewondo).
Les Mbouda appartiennent à la grande famille Bamiléké de la région de l’Ouest Cameroun, et sont reconnus pour leur intégrité, leur sens du travail et de la culture, et surtout ils sont encore bien imprégnés de leurs traditions auxquelles ils sont très attachés. Bien que certains éléments dans leurs us et coutumes se perdent de nos jours, ils en conservent la plupart.
On se rappelle que jusque dans les années 1995, on comptait du bout des doigts le nombre de beaux fils originaires des autres régions (Centre, Littoral, Sud Est…). De nos jours, il n’en est plus ainsi. Les mariages inter-régions se célèbrent aujourd’hui avec une certaine aisance. Et la dot chez eux telle que nous l’avons vécu entre un Ewondo de Bipindi par Kribi et une Mbouda de Babadjou par Bamenda nous a interpellés sur bien des aspects.
D’abord l’Ewondo, qui vivait déjà depuis quelques années avec la Mbouda (le vient on reste) et était le père de son enfant, s’est présenté auprès de la famille Mbouda comme l’homme avec qui leur fille vit. En béti, on appelle ça « a voé Aba » c’est-à-dire se présenter comme futur beau fils. Malgré cet élan de sincérité, sa future belle-famille continuait à demander à leur fille, « est-ce que ton gars Nkwa va bien ? » ; Nkwa étant l’expression par laquelle les Bamiléké nomment les peuples du Centre/Sud, pendant que les Ewondo les appellent les Beloblobo.
Cependant, aucune de ces expressions n’entrave en rien les relations entre ces peuples car ces appellations sont devenues populaires. Lorsque le jeune Ewondo a perdu son papa, on a reproché à la famille de la fille de n’avoir pas assisté aux obsèques, excepté leur fille, certainement parce que le mariage coutumier n’avait pas encore été célébré. A tord ou à raison …
Au moment où l’Ewondo s’est engagé à aller faire la dot, on lui a demandé six chèvres, six bidons d’huile rouge de 20 litres, six bidons de 20l de vin de palme et trois enveloppes d’un montant de cinquante milles francs chacune. Cette dot était répartie comme suit :
Pour la famille du père, deux chèvres, deux bidons de vin de palme, deux bidons d’huile rouge ; pareil pour la famille de la mère.
Le grand-père du côté de la mère recevra une chèvre, un bidon de vin de palme et un bidon d’huile rouge ; pareil pour le grand-père du côté de la mère.
Une enveloppe de cinquante mille francs sera déposée partout où nous avons laissé les choses demandées.
L’autre aspect de la dot fut que dans chaque maison, des femmes venaient avec des assiettes couvertes, trois femmes à chaque passage , où nous trouvions tantôt des œufs, des arachides, ou des kolas. Ces assiettes étaient remises à la famille Ewondo qui les rendait à ces femmes avec une somme de leur choix dans chaque assiette. La plus grosse somme qu’on a remise était cinq mille, et c’était au début de la cérémonie, quand les poches étaient encore pleines.
Il ne va pas sans dire qu’à chaque arrêt, on consommait les meilleurs plats de la cuisine mbouda : de la sauce jaune aux pommes pilées, en passant par le couscous … quel régal ! Aucun plat d’une autre région n’était au menu, encore moins les plats européens. Par ce geste, la famille Mbouda voulait dire à son beau fils qu’il épouse toute une culture. Alors n’allons pas voir dans ce geste une attitude égoïste, voire du tribalisme.
Enfin, l’un des aspects typiquement coutumier qui nous a marqué est que : seul dans la famille du père de la fille, on a pu faire le culte des crânes auquel nous avons eu le privilège d’assister (une cérémonie qui consiste à dire aux ancêtres qu’un prétendant est venu prendre leur fille comme épouse).
C’est donc de cette manière que l’on contracte le mariage coutumier chez les Mbouda. Une fois, cette cérémonie terminée, le mariage à la mairie n’a plus d’importance, c’est un événement qui dépend maintenant du conjoint et la conjointe.
Toutefois, ce qui nous a intrigué est que lors du culte des crânes, comme on s’est retrouvé à court de liquidité, il est resté une somme de quarante mille à reverser à la belle-famille suite aux imprévus rencontrés durant la cérémonie. Nous nous sommes engagés à expédier cet argent par banque. C’est alors qu’au moment du rite des crânes, le patriarche nous dit qu’il a dit aux ancêtres qu’on doit revenir verser cet argent sinon, on aura des ennuis … Mince vrai vrai que même les morts ont leur part de dot !!!
🛑 Source : Grand Prof
Oui moi c'est Grand Prof, celui qui lap il va planter les choux. A l'heure ci tout ce que je dis ce n'est pas la bible. Si j'ai oublié un way, complète seulement ! Si j'ai menti, dis seulement ta part de vérité en commentaire !
Je Suis Bamiléké, I Am Grassfield 2.0
Les Mbouda appartiennent à la grande famille Bamiléké de la région de l’Ouest Cameroun, et sont reconnus pour leur intégrité, leur sens du travail et de la culture, et surtout ils sont encore bien imprégnés de leurs traditions auxquelles ils sont très attachés. Bien que certains éléments dans leurs us et coutumes se perdent de nos jours, ils en conservent la plupart.
On se rappelle que jusque dans les années 1995, on comptait du bout des doigts le nombre de beaux fils originaires des autres régions (Centre, Littoral, Sud Est…). De nos jours, il n’en est plus ainsi. Les mariages inter-régions se célèbrent aujourd’hui avec une certaine aisance. Et la dot chez eux telle que nous l’avons vécu entre un Ewondo de Bipindi par Kribi et une Mbouda de Babadjou par Bamenda nous a interpellés sur bien des aspects.
D’abord l’Ewondo, qui vivait déjà depuis quelques années avec la Mbouda (le vient on reste) et était le père de son enfant, s’est présenté auprès de la famille Mbouda comme l’homme avec qui leur fille vit. En béti, on appelle ça « a voé Aba » c’est-à-dire se présenter comme futur beau fils. Malgré cet élan de sincérité, sa future belle-famille continuait à demander à leur fille, « est-ce que ton gars Nkwa va bien ? » ; Nkwa étant l’expression par laquelle les Bamiléké nomment les peuples du Centre/Sud, pendant que les Ewondo les appellent les Beloblobo.
Cependant, aucune de ces expressions n’entrave en rien les relations entre ces peuples car ces appellations sont devenues populaires. Lorsque le jeune Ewondo a perdu son papa, on a reproché à la famille de la fille de n’avoir pas assisté aux obsèques, excepté leur fille, certainement parce que le mariage coutumier n’avait pas encore été célébré. A tord ou à raison …
Au moment où l’Ewondo s’est engagé à aller faire la dot, on lui a demandé six chèvres, six bidons d’huile rouge de 20 litres, six bidons de 20l de vin de palme et trois enveloppes d’un montant de cinquante milles francs chacune. Cette dot était répartie comme suit :
Pour la famille du père, deux chèvres, deux bidons de vin de palme, deux bidons d’huile rouge ; pareil pour la famille de la mère.
Le grand-père du côté de la mère recevra une chèvre, un bidon de vin de palme et un bidon d’huile rouge ; pareil pour le grand-père du côté de la mère.
Une enveloppe de cinquante mille francs sera déposée partout où nous avons laissé les choses demandées.
L’autre aspect de la dot fut que dans chaque maison, des femmes venaient avec des assiettes couvertes, trois femmes à chaque passage , où nous trouvions tantôt des œufs, des arachides, ou des kolas. Ces assiettes étaient remises à la famille Ewondo qui les rendait à ces femmes avec une somme de leur choix dans chaque assiette. La plus grosse somme qu’on a remise était cinq mille, et c’était au début de la cérémonie, quand les poches étaient encore pleines.
Il ne va pas sans dire qu’à chaque arrêt, on consommait les meilleurs plats de la cuisine mbouda : de la sauce jaune aux pommes pilées, en passant par le couscous … quel régal ! Aucun plat d’une autre région n’était au menu, encore moins les plats européens. Par ce geste, la famille Mbouda voulait dire à son beau fils qu’il épouse toute une culture. Alors n’allons pas voir dans ce geste une attitude égoïste, voire du tribalisme.
Enfin, l’un des aspects typiquement coutumier qui nous a marqué est que : seul dans la famille du père de la fille, on a pu faire le culte des crânes auquel nous avons eu le privilège d’assister (une cérémonie qui consiste à dire aux ancêtres qu’un prétendant est venu prendre leur fille comme épouse).
C’est donc de cette manière que l’on contracte le mariage coutumier chez les Mbouda. Une fois, cette cérémonie terminée, le mariage à la mairie n’a plus d’importance, c’est un événement qui dépend maintenant du conjoint et la conjointe.
Toutefois, ce qui nous a intrigué est que lors du culte des crânes, comme on s’est retrouvé à court de liquidité, il est resté une somme de quarante mille à reverser à la belle-famille suite aux imprévus rencontrés durant la cérémonie. Nous nous sommes engagés à expédier cet argent par banque. C’est alors qu’au moment du rite des crânes, le patriarche nous dit qu’il a dit aux ancêtres qu’on doit revenir verser cet argent sinon, on aura des ennuis … Mince vrai vrai que même les morts ont leur part de dot !!!
🛑 Source : Grand Prof
Oui moi c'est Grand Prof, celui qui lap il va planter les choux. A l'heure ci tout ce que je dis ce n'est pas la bible. Si j'ai oublié un way, complète seulement ! Si j'ai menti, dis seulement ta part de vérité en commentaire !
Je Suis Bamiléké, I Am Grassfield 2.0
1 année depuis
🛑🌍À la découverte du village de l’unité:
(Nyafianga 🇨🇲)
Situé au cœur même du Cameroun, #Nyafianga est un village unique en son genre, où l’art de VIVRE ENSEMBLE et de PARTAGER TOUT ENSEMBLE est appliqué au quotidien. Ce modèle de vie communautaire exceptionnel permet à ses habitants de vivre en harmonie, malgré leurs origines diverses.
Nyafianga est un village écologique et autonome qui abrite des populations venant de toutes les régions du Cameroun et d'ailleurs. Parmi les communautés qui y résident, on retrouve les Yambassa, Douala, Bamiléké, Bassa, et Ewondo, ainsi que des Maliens et des Afro-Caribéens.
Ce qui rend Nyafianga si spécial, c'est l'engagement de ses habitants à vivre en symbiose avec la nature tout en célébrant leurs différences culturelles. Chaque jour, les villageois s'attachent à cultiver un esprit de solidarité et de partage, faisant de Nyafianga un véritable havre de paix et de cohésion sociale.
Le village fonctionne de manière autonome grâce à des pratiques écologiques durables. Les résidents utilisent des énergies renouvelables, cultivent des jardins biologiques et partagent équitablement les ressources. Cette approche permet non seulement de préserver l’environnement, mais aussi de renforcer les liens communautaires.
Nyafianga est plus qu'un simple village; c'est un modèle inspirant de ce que peut être une société harmonieuse et respectueuse de la diversité.
#lecontinentcamerounais
(Nyafianga 🇨🇲)
Situé au cœur même du Cameroun, #Nyafianga est un village unique en son genre, où l’art de VIVRE ENSEMBLE et de PARTAGER TOUT ENSEMBLE est appliqué au quotidien. Ce modèle de vie communautaire exceptionnel permet à ses habitants de vivre en harmonie, malgré leurs origines diverses.
Nyafianga est un village écologique et autonome qui abrite des populations venant de toutes les régions du Cameroun et d'ailleurs. Parmi les communautés qui y résident, on retrouve les Yambassa, Douala, Bamiléké, Bassa, et Ewondo, ainsi que des Maliens et des Afro-Caribéens.
Ce qui rend Nyafianga si spécial, c'est l'engagement de ses habitants à vivre en symbiose avec la nature tout en célébrant leurs différences culturelles. Chaque jour, les villageois s'attachent à cultiver un esprit de solidarité et de partage, faisant de Nyafianga un véritable havre de paix et de cohésion sociale.
Le village fonctionne de manière autonome grâce à des pratiques écologiques durables. Les résidents utilisent des énergies renouvelables, cultivent des jardins biologiques et partagent équitablement les ressources. Cette approche permet non seulement de préserver l’environnement, mais aussi de renforcer les liens communautaires.
Nyafianga est plus qu'un simple village; c'est un modèle inspirant de ce que peut être une société harmonieuse et respectueuse de la diversité.
#lecontinentcamerounais
1 année depuis
À LA DÉCOUVERTE DU VILLAGE DE L'UNITÉ. 🏠
Pendant les préparatifs de la fête nationale, célébrée ce 20 mai, s'est rendue au village-pilote Save Africa une délégation de journalistes de la chaîne de télévision nationale, la #CRTV .
En effet, ces émissaires ont été chargés de présenter à la vitrine du monde le seul modèle connu où le VIVRE ENSEMBLE, mais également le PARTAGER TOUT ENSEMBLE sont appliqués au quotidien. Cela est rendu possible grâce au modèle de vie communautaire qui y règne. C'est pourquoi, dans ce village écologique et autonome, vivent en harmonie des populations originaires de diverses régions du Cameroun, de l'Afrique, et même d'outre-mer. On retrouve entre autres : yambassa, douala, bamiléké, bassa, ewondo... Sans oublier des Malien et afro-Caribéen.
🔴 Ne manquez pas ce reportage sur les ondes de la CRTV.
Save Africa, le point de départ de la renaissance africaine à la vue de tous.
📸 La suite des images, en commentaire 👇👇
Pendant les préparatifs de la fête nationale, célébrée ce 20 mai, s'est rendue au village-pilote Save Africa une délégation de journalistes de la chaîne de télévision nationale, la #CRTV .
En effet, ces émissaires ont été chargés de présenter à la vitrine du monde le seul modèle connu où le VIVRE ENSEMBLE, mais également le PARTAGER TOUT ENSEMBLE sont appliqués au quotidien. Cela est rendu possible grâce au modèle de vie communautaire qui y règne. C'est pourquoi, dans ce village écologique et autonome, vivent en harmonie des populations originaires de diverses régions du Cameroun, de l'Afrique, et même d'outre-mer. On retrouve entre autres : yambassa, douala, bamiléké, bassa, ewondo... Sans oublier des Malien et afro-Caribéen.
🔴 Ne manquez pas ce reportage sur les ondes de la CRTV.
Save Africa, le point de départ de la renaissance africaine à la vue de tous.
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1 année depuis
#Beti #Ekang 📌
La répartition du pays 𝗕𝗘𝗧𝗜 dans la région du Centre 🇨🇲, on peut observer les Ewondo entourant les Bënë à Yaoundé, ses banlieues et le département entier de la MEFOU.
Vous pouvez voir aussi la position géographique de vos clans dans la ville de Yaoundé et ses environs.
Toutes nos actualités sur 👇🏽 www.savoirfairekang.com
Source 📷 : https://acrobat.adobe.com/...
La répartition du pays 𝗕𝗘𝗧𝗜 dans la région du Centre 🇨🇲, on peut observer les Ewondo entourant les Bënë à Yaoundé, ses banlieues et le département entier de la MEFOU.
Vous pouvez voir aussi la position géographique de vos clans dans la ville de Yaoundé et ses environs.
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1 année depuis
Sanga/sangah, traditional meal of the people of centre and South region of Cameroon 😋🇨🇲
Sanga/sangah is a very common delicacy in Cameroon, traditionally made using maize, cassava leaves, palm oil and other necessary cooking ingredients like salt, maggi and pepper.
It is a traditional meal to the people of the central region( Ewondo, Bassa and vute) and southern region (Beti-pahuin, Bulu, Fang).
This meal is so delicious, try it and thank me later😊😋🇨🇲
Sanga/sangah is a very common delicacy in Cameroon, traditionally made using maize, cassava leaves, palm oil and other necessary cooking ingredients like salt, maggi and pepper.
It is a traditional meal to the people of the central region( Ewondo, Bassa and vute) and southern region (Beti-pahuin, Bulu, Fang).
This meal is so delicious, try it and thank me later😊😋🇨🇲
1 année depuis
#Ewondo Attic: Le Grenier de l’Ewondo: Akág Éwondo Paperback – April 11, 2024*
https://www.amazon.com/dp/...
Bienvenue dans le monde fascinant des langues africaines ! Ce livre trilingue en ewondo, anglais et français est une invitation à explorer la riche diversité linguistique et culturelle de l'Afrique. Il est tout illustré du début à la fin, et plein de contenus captivants, parfaits pour les jeunes apprenants et les passionnés de langues !
Dans ce livre, les enfants entreprendront un voyage amusant et interactif à travers trois langues différentes : l'ewondo, le français et l'anglais. Ce livre, comme son nom l'indique, se veut être la référence des livres en langues africaines.
Accompagnés de chansons et de rimes entraînantes, les enfants auront l'occasion d'apprendre de nouveaux vocabulaires et expressions, ainsi que de pratiquer leurs compétences en lecture. Les illustrations vibrantes captureront leur imagination et rendront l'expérience d'apprentissage encore plus agréable.
https://www.amazon.com/dp/...
By #resulam
https://www.amazon.com/dp/...
Bienvenue dans le monde fascinant des langues africaines ! Ce livre trilingue en ewondo, anglais et français est une invitation à explorer la riche diversité linguistique et culturelle de l'Afrique. Il est tout illustré du début à la fin, et plein de contenus captivants, parfaits pour les jeunes apprenants et les passionnés de langues !
Dans ce livre, les enfants entreprendront un voyage amusant et interactif à travers trois langues différentes : l'ewondo, le français et l'anglais. Ce livre, comme son nom l'indique, se veut être la référence des livres en langues africaines.
Accompagnés de chansons et de rimes entraînantes, les enfants auront l'occasion d'apprendre de nouveaux vocabulaires et expressions, ainsi que de pratiquer leurs compétences en lecture. Les illustrations vibrantes captureront leur imagination et rendront l'expérience d'apprentissage encore plus agréable.
https://www.amazon.com/dp/...
By #resulam
2 années depuis
Les " Éwondo "
Le fondateur du clan Éwondo s'appelait "Fura Togo" ou "Fouda Togo" il a eu 3 femmes. Qui avaient pour nom : Andzongo, Mballa, et Na- Baana.
1-Avec Andzongo, Foura Togo eu un enfant qui portait le nom de Ebanda Andzongo
2-avec Mballa, Foura Togo eu un enfant qui portait le nom Ekoussou Mballa.
3-avec Na-Baana Foura Togo eu 3 enfants qui portaient les noms de, Essomba Na Baana, Amougou Na-Baana, et Abé Na- Baana.
Donc les Éwondos ont 3 grandes familles, qui correspondent aux 3 femmes de Foura Togo
1- la famille Ebanda Andzongo
2- la famille Ekoussou Mballa
3-la famille Na- Baana. Qui a eu 3 enfants ( Essomba, Amougou, et Abé )
1) Premiere grande Famille Éwondo, Mvog Ebanda Andzongo.
Ebanda Andzongo, est le fils que Foura Togo a engendré avec sa femme andzoro.
Et il a donner la grande famille Mvog Ebanda Andzongo. Composé des familles :
-Mvog kabeda, ou Mvog kabad.
- Mvog Eya
-Mvog Bassogo
-Mvog Obe
-Mvog Ombé
2) deuxième grande famille Éwondo, Mvog Ekoussou Mballa,
Ekoussou Mballa est le fils que Foura togo a eu avec sont épouse Mballa, et Ekoussou Mballa a donner la grande famille Mvog Ekoussou Mballa, composé des familles suivantes :
-Mvog Anaba
-mvog Bevolo
-mvog Engolo.
A l'intérieur de ses grandes familles ci dessus citée il ya encore
- les Mvog Tolo,
- les Mvog Tigui
- les Mvog Bevoundi
-les Mvog Ba'ana
-les Mvog betiga, ...ect
3) troisième grande famille Éwondo, Mvog Na Ba'ana,
Avec sont épouse Na Baana, Foura Togo a eu 3 enfants. Essomba Na Ba'ana, Amougou N'a Ba'ana et Abé Na Ba'ana.
A-Essomba Na Ba'ana. a eu deux femme, Mballa, et mendana.
Avec sa femme Mballa il a eu 4 enfants, Atangana Mballa, Tsoungui Mballa, fouda Mballa, et Essomba Ndaana, ou Essomba Mendana, qui a leurs tour ont eu les enfants suivant :
1- Mvog Atangana Mballa qui donnera ( Tiri, Essomba Tiri, Abé Nega, Essomba Nega, kpama Onoana) mvog
2- Mvog Tsoungui Mballa qui donnera (Ada, Atemengue, Zoe, Owotsogo, Onguene, Betsi, Dzou, Ntigui, Ottou, Anvouna, Effa, ) mvog
3- et Mvog fouda Mballa qui donnera (Amougou Bella, Essomba Mbollo, Abena, Obougou Mefana, Owona Mbazoa, Atangana bilòa, bilòa balla, zibi fouda, Zi-fouda.) Mvog
Et avec sa femme mendana il a eu pour enfant :
4- Mvog Essomba Mendana, ou Essom-ndana ( Noah Limi, Omgba Limi, Samba, Mballa Belinga, Oyono, Ekoussou Oyono, kwassi-Belinga, Atangana- Kwassi, Ambassa Kwassi, Etu nkoé, Enguene Kwassi.) Mvog
B) avec sa troisième femme Na Ba'ana,
Foura Togo a eu pour deuxième enfant, Abé Na baana, et Abé Na Ba'ana a eu deux femmes.
Mebar- kono et Mbi Mengue
a-La première, Mebar - kono a engendré les Mvog nama et les Mvog Ndobo.
b-La seconde Mengue Mbi. a engendré tous ce qu'on connait comme Mvog Mbi
-Mvog Nsourou,
-Mvog Edoua Nsourou
-Mvog Nsi
-les Mvog ******* ou
-les Mvog ndong Nyara
- les Mvog Edoa,
-Mvog Manga, Ntsama, Mvog Evedzoa Ebe, Mvog Tsogo, Mvog Befirna, Mvog Ndzana, Mvog abomo, Mvog Tsoungui, Mvog Edoa Nso'o, Mvog Ayissi, Mvog Zanga,..ect
C) le dernier fils de Na Ba'ana et de Foura Togo.
Amougou N'a Ba'ana n'a n'a pas eu descendance.
Je pouvais aller plus dans les ramifications, mais ça allait me prendre beaucoup de temps .
Sources : "Les Bëti du Cameroun" de Ndougsa Vincent.
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Le fondateur du clan Éwondo s'appelait "Fura Togo" ou "Fouda Togo" il a eu 3 femmes. Qui avaient pour nom : Andzongo, Mballa, et Na- Baana.
1-Avec Andzongo, Foura Togo eu un enfant qui portait le nom de Ebanda Andzongo
2-avec Mballa, Foura Togo eu un enfant qui portait le nom Ekoussou Mballa.
3-avec Na-Baana Foura Togo eu 3 enfants qui portaient les noms de, Essomba Na Baana, Amougou Na-Baana, et Abé Na- Baana.
Donc les Éwondos ont 3 grandes familles, qui correspondent aux 3 femmes de Foura Togo
1- la famille Ebanda Andzongo
2- la famille Ekoussou Mballa
3-la famille Na- Baana. Qui a eu 3 enfants ( Essomba, Amougou, et Abé )
1) Premiere grande Famille Éwondo, Mvog Ebanda Andzongo.
Ebanda Andzongo, est le fils que Foura Togo a engendré avec sa femme andzoro.
Et il a donner la grande famille Mvog Ebanda Andzongo. Composé des familles :
-Mvog kabeda, ou Mvog kabad.
- Mvog Eya
-Mvog Bassogo
-Mvog Obe
-Mvog Ombé
2) deuxième grande famille Éwondo, Mvog Ekoussou Mballa,
Ekoussou Mballa est le fils que Foura togo a eu avec sont épouse Mballa, et Ekoussou Mballa a donner la grande famille Mvog Ekoussou Mballa, composé des familles suivantes :
-Mvog Anaba
-mvog Bevolo
-mvog Engolo.
A l'intérieur de ses grandes familles ci dessus citée il ya encore
- les Mvog Tolo,
- les Mvog Tigui
- les Mvog Bevoundi
-les Mvog Ba'ana
-les Mvog betiga, ...ect
3) troisième grande famille Éwondo, Mvog Na Ba'ana,
Avec sont épouse Na Baana, Foura Togo a eu 3 enfants. Essomba Na Ba'ana, Amougou N'a Ba'ana et Abé Na Ba'ana.
A-Essomba Na Ba'ana. a eu deux femme, Mballa, et mendana.
Avec sa femme Mballa il a eu 4 enfants, Atangana Mballa, Tsoungui Mballa, fouda Mballa, et Essomba Ndaana, ou Essomba Mendana, qui a leurs tour ont eu les enfants suivant :
1- Mvog Atangana Mballa qui donnera ( Tiri, Essomba Tiri, Abé Nega, Essomba Nega, kpama Onoana) mvog
2- Mvog Tsoungui Mballa qui donnera (Ada, Atemengue, Zoe, Owotsogo, Onguene, Betsi, Dzou, Ntigui, Ottou, Anvouna, Effa, ) mvog
3- et Mvog fouda Mballa qui donnera (Amougou Bella, Essomba Mbollo, Abena, Obougou Mefana, Owona Mbazoa, Atangana bilòa, bilòa balla, zibi fouda, Zi-fouda.) Mvog
Et avec sa femme mendana il a eu pour enfant :
4- Mvog Essomba Mendana, ou Essom-ndana ( Noah Limi, Omgba Limi, Samba, Mballa Belinga, Oyono, Ekoussou Oyono, kwassi-Belinga, Atangana- Kwassi, Ambassa Kwassi, Etu nkoé, Enguene Kwassi.) Mvog
B) avec sa troisième femme Na Ba'ana,
Foura Togo a eu pour deuxième enfant, Abé Na baana, et Abé Na Ba'ana a eu deux femmes.
Mebar- kono et Mbi Mengue
a-La première, Mebar - kono a engendré les Mvog nama et les Mvog Ndobo.
b-La seconde Mengue Mbi. a engendré tous ce qu'on connait comme Mvog Mbi
-Mvog Nsourou,
-Mvog Edoua Nsourou
-Mvog Nsi
-les Mvog ******* ou
-les Mvog ndong Nyara
- les Mvog Edoa,
-Mvog Manga, Ntsama, Mvog Evedzoa Ebe, Mvog Tsogo, Mvog Befirna, Mvog Ndzana, Mvog abomo, Mvog Tsoungui, Mvog Edoa Nso'o, Mvog Ayissi, Mvog Zanga,..ect
C) le dernier fils de Na Ba'ana et de Foura Togo.
Amougou N'a Ba'ana n'a n'a pas eu descendance.
Je pouvais aller plus dans les ramifications, mais ça allait me prendre beaucoup de temps .
Sources : "Les Bëti du Cameroun" de Ndougsa Vincent.
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